Par Lucien SA Oulahbib
Ces milices, fortes de leurs forteresses détenues dans l'enseignement supérieur, les hautes structures juridiques (Cours d'Appel, Conseil d'État) et dans certains médias supplétifs (issus du trotskisme du maoïsme recyclés dans le néoléninisme bourdieusien et foucaldien ou issus du Marais admiratif des "grands" du moins jusqu'à un prochain Thermidor) chassent ainsi en amont tous ceux qui refusent d'être transformés en "rhinocéros" (Ionesco) ou comment nier vigoureusement la réalité des luttes de type hobbesienne (soit étendre son territoire physique et métaphysique le plus loin possible) en psalmodiant l'encens totalitaire au goût du jour : La France ne serait qu'une "construction" un meccano qu'il est donc loisible de manipuler à sa guise un peu comme le Hitler de Charlot s'amusant à la balle avec le globe terrestre. Pourquoi ne pas faire de même avec "la" France ? Les France, empaillées pour faire joli, dans le musée des "curiosités" que devient le "territoire", cette "plate forme" au fond pour les envolées symboliques qui servent si bien en période électorale.
Et la force de cette énième mue du totalitarisme sera de paralyser pensées et actions en les cataloguant d'entrée de jeu, avant même qu'elles ne se constituent en concepts, en pratiques, du terme fatal "d'extrême-droite" ce qui immobilise instantanément les forces vives tel le cerf, le taureau, tombant sur leurs genoux en attendant l'estocade du bourreau nouveau si beau joli intelligent, si "gai".
Alors que leurs alliés objectifs font feu de tout bois à Kaboul, à Bagdad, Manchester… les milices néo-léninistes travaillent elles à poser leurs bombes