Après avoir tenu pendant 2 années des réunions destinées à intéresser des organisations à ce que pourrait être un "Nouveau Logiciel". Je me propose maintenant de donner quelques pistes sur ce qu'il conviendrait de faire.
Alternativement je placerai quelques messages de nos amis des associations et Think Tanks libéraux.
L’arrogance et le toupet des eurocrates semblent ne plus avoir de limites comme cela a déjà été démontré si souvent et si bruyamment avec la Hongrie. Maintenant, c’est la Pologne qui fait les frais des ambitions des commissaires européens et de certains gauchistes du Parlement européen qui ont du mal à accepter le choix souverain des électeurs polonais le 25 octobre dernier.
Le Parlement polonais débattait cette semaine d’un amendement (voté hier) à la loi sur sa cour constitutionnelle qui avait été traficotée en juin dernier par la majorité précédente afin de lui permettre de remplacer à l’avance 5 juges (sur 15) dont le mandat arrivait à expiration en novembre et décembre (et qui auraient donc dû être nommés par le parlement issu des élections du 25 octobre, voir l’explication ici). Les élites de Bruxelles et Strasbourg n’avaient rien trouvé à redire de ces
Par Lucien SA Oulahbib le 22/12/2015 Que penser pour commencer d'une Christiane Taubira qui ose
parler, des affaires françaises relatives à la déchéance ou non de nationalité à partir
d'un pays étranger, d'un
État de surcroît fantoche (et qui bourre les urnes) un État qui est à l'origine
de l'islamisme d'Afrique du Nord, qui a fait croire, de même que Mme Taubira et
ses ami(e)s, que la présence française avait été le bagne, pis, avait détruit
une "superpuissance en 1830" dixit un responsable FLN
de l'époque relate Gilbert Meynier dans son Histoire intérieure du FLN (p. 223) :
" Tout ce qui peut démontrer la
supériorité des Arabes et des musulmans y est convoqué. Et comme les Arabes et
les musulmans ont été puissants il y a plusieurs siècles, le passé est
naturellement exalté. D’où les incitations à venger la bataille de Poitiers,
d’où aussi l’affirmation obsessionnelle de la supériorité militaire du
"jundiyy" (combattant) algérien (…) (;) au sommet de l’appareil, (…),
un moderniste comme Mouloud Kacem Naït Belkacem, cadre germanophone de la
délégation F.L.N. à Bonn, ne craint pas d’asséner dans
Le Prix Nobel d’économie analyse l’accord adopté samedi par les représentants des 195 Etats réunis au Bourget. A ses yeux, « il faut arrêter de tourner autour du pot etremettre les négociations climatiques sur les rails ». Il donne ses pistes pour aller plus loin
Laurent Fabius, très ému, a remis samedi en fin de matinée la version finale de l’accord sur le climat aux 195 représentants des pays participant à la COP21, le qualifiant d’« ambitieux et équilibré ». Le texte a été approuvé en séance plénière en fin de journée. Dans une tribune exclusive pour l’Opinion, Jean Tirole juge que les moyens de cette ambition affichée à la COP21 ne sont ni assez précis, ni à la hauteur des objectifs à atteindre. Il souligne néanmoins plusieurs « causes d’optimisme ».
Les partis « traditionnels » sont hués par les citoyens lors de ces régionales. Pourquoi ? Un indice frappant vient du constat que tous ces partis traditionnels sont concernés : frappant de noter que les écologistes, en plein COP 21, réalisent un de leurs pires scores, que le front de gauche et les communistes, qui n'ont pourtant de cesse de marquer leur opposition au gouvernement au nom de son non-respect des engagements pris, mordent pareillement la poussière. Qu'enfin les partis de droite, ainsi que leurs alliés centristes, ne profitent guère de ce désamour, et loin en tout cas de leurs attentes. Bien sûr les attaques du 13 novembre sont certainement pour beaucoup dans les inquiétudes des Français et leur demande insatisfaite de sécurité. Mais il faut aller beaucoup plus loin que cette explication. Voir le besoin de renouvellement d'un système interminablement otage d'une caste politique - et syndicale - enfermé dans la cooptation et très éloigné des préoccupations réelles de la population.
Les études d'opinion le disent, les tournées et conférences dans les régions que la signataire de ces lignes a récemment accomplies le confirment, les préoccupations économiques tiennent le haut du
> L’ABSENCE DE TRADITION FRANCAISE EN MATIERE REFERENDAIRE
> DE LA BONNE ET DE LA MAUVAISE UTILISATION DES REFERENDUMS
> Dans le contexte des élections régionales, il n’est pas inintéressant de se demander si une proposition de loi constitutionnelle ne pourrait pas être émise aux fins d’instaurer un mécanisme de démocratie semi-directe au plan local
Pour reprendre la définition d’un constitutionnaliste, le terme de référendum désigne, au sens le plus large, toute procédure par laquelle le corps électoral se prononce sur un projet de loi, que celui-ci émane du chef d’Etat, du Parlement, de collectivités territoriales ou de citoyens[1]. Quant au référendum d’initiative populaire, il se définit comme une procédure qui permet à un nombre