Par Lucien SA Oulahbib
Plusieurs faits le corroborent:1/accélération de la destruction des spécificités père/mère/homme/femme par l'élimination de la fête des mères et de la fête des pères; 2/destruction des Berbères de France avec l'imposition de l'arabe dès le CP, et intimidation de Cantona/Benzema/Debouze pour asseoir la supériorité arabe sur les autres minorités de couleur ; 3/destruction de la liberté de pensée en France avec l'imposition en 1ère et terminale des élucubrations des Bourdieu et Foucault; 4/destruction de la liberté d'entreprendre (par ex Adidas attaqué par l'URSSAF pour avoir proposé, gratuitement, des salles de sport à ses salariés) et de se soigner (interdiction de choisir sa propre S.S).
1/accélération de la destruction des spécificités père/mère/homme/femme par l'élimination de la fête des mères et de la fête des pères :
Il n'y a pas qu'en Savoie, à Lyon aussi (école Fulchiron, 5ème arrondissement), les parents des maternelles ont eu ce petit mot expliquant que désormais les fêtes des pères et des
mères seraient fêtées le même jour afin officiellement d'avaliser des situations liées à la "complexité des situations familiales"; afin officieusement en réalité de défendre l'idée qu'au fond père et mère sont non seulement des rôles interchangeables, mais également homme et femme.
La preuve ? il s'agit de défendre de plus en plus explicitement l'idée qu'il faudrait juste fêter les "personnes qui s'aiment" ce qui n'a pourtant rien à voir puisque l'on peut s'aimer sans (vouloir) avoir d'enfants.
Et l'on peut aussi considérer que lorsque deux personnes de sexes différents ont des enfants ce n'est pas spécialement pour leur inculquer les "normes dominantes de l'hétéro-normativité" mais parce que l'Évolution de l'histoire naturelle a fait que les sexes ont été distinguées alors que dans d'autres espèces ils sont indifférenciés ; sans doute parce que chez les mammifères les rôles paternels et maternels ont des fonctions spécifiques tandis qu'elles sont liées chez les mammifères humains à des maturations psychologiques spécifiques comme la recherche de la qualité relationnelle pour les femmes afin de créer un espace-temps favorable, alors que la recherche de la performance pour les hommes y compris entre soi et soi (Nuttin, 1980) exprimerait le désir d'explorer d'innover de réunir les meilleures conditions de production permettant à la fois la conservation et l'affinement de soi.
D'autre part, l'idée du mariage a été essentiellement structurée pour trois nécessités :
a/il faut une équité entre homme et femme au sens où il n'est pas vrai que l'on puisse aimer plusieurs personnes en même temps c'est-à-dire d'offrir, immédiatement, à la personne aimée l'affection qu'elle demande, sur le champ, car si l'on peut avoir l'impression de pouvoir aimer à chaque rencontre c'est que l'on confond malicieusement séduction narcissique réciproque et volonté d'aider l'être aimé à prendre en charge ses désirs les accompagnant jusqu'à éclosion.
b/il s'agit aussi de protéger les biens de chacun en considérant que la personne quittée peut être sans biens parce qu'elle aura par exemple consacré son temps à autrui et à sa progéniture, ce qui mérite compensation et donc pension alors que dans l'union dite "libre" la personne quittée peut se retrouver sans protection.
c/le mariage est enfin lié à la nécessité d'offrir une protection aux enfants qui eux-mêmes ont le droit d'avoir un père et une mère ; non pas parce que c'est ainsi, mais parce que l'enfant humain a besoin de se constituer psychiquement dans l'altérité ; observons d'ailleurs que certains enfants élevés par un seul parent en souffrent.
2/Destruction des Berbères de France avec l'imposition de l'arabe dès le CP, et intimidation de Cantona/Benzema pour asseoir la supériorité arabe sur les autres minorités de couleur :
Jamais il n'a été question pour les immigrations antérieures de faire apprendre l'italien, le polonais, l'espagnol, le portugais, le vietnamien, le chinois, le camerounais, le sénégalais, le congolais, le béninois, le tchadien (etc…) ou, du moins les différents parlers de ces pays respectifs, dès le CP.
Qui apprendra l'arabe ? Ceux dont le nom de famille a une consonance nord africaine, libanaise, syrienne, irakienne ? Ce qui ne fera que les désigner, dès le CP, y compris à eux-mêmes, qu'ils sont non seulement différents, mais pas tout à fait comme les autres, développant dans ce cas l'idée qu'ils n'ont pas le droit de se consacrer au français seul, non, il faut les culpabiliser, d'entrée, en indiquant leur peau bronzée et "donc" son besoin d'apprendre la "langue de ses ancêtres".
Sauf qu'il s'agit bel et bien du racisme objectif au sens de cantonner quelqu'un, qui plus est sur la base du volontariat, à ses origines ethniques alors que la nation française et son droit du sol a toujours eu la prétention de créer un citoyen français au-delà de ses origines et de sa religion.
C'est alors et bel et bien là aussi une régression culturelle de la plus haute importance ; bien pis que proposer le breton, corse, alsacien, occitan, puisque au moins ces langues font parties de l'idiome français depuis des siècles, alors que l' "arabe" n'en fait d'autant plus pas partie qu'il ne s'agit même pas du parler populaire algérien mâtiné de diverses influences, encore moins des différentes langues berbères en voie d'homogénéisation, mais d'un arabe importé d'Arabie Saoudite, un arabe colonisateur, que personne ne parle en réalité y compris là-bas sinon dans les documents et les rencontres officiels.
La France participerait donc à la "saouditisation"d'une partie de sa population, sans parler du reste…à savoir refuser d'admettre que le passé français en Afrique du Nord a été réduit aux moments de guerre alors qu'il y a eu de réels moments de rencontre entre populations, surtout urbaines, mais que, en effet, les courants extrémistes ont cherché à les détruire, en particulier à partir de 1958 lorsque le courant raciste national islamiste du FLN a profité du tournant pro-arabiste de De Gaulle pour programmer l'épuration ethnique et religieuse avec les résultats que l'on sait jusqu'à cette morgue des Benzema, Debouze, et autres Indigènes de la République. Ils ne font en effet que défendre cette supériorité raciste arabo-musulmane alors que l'on ne voit guère des italiens, espagnols, polonais, portugais, vietnamiens, sénégalais, congolais, camerounais, voire même tunisiens et marocains alimenter une telle haine anti-française.
Au fond Debouze, Benzema et leurs soutiens (Cantona, FdG, NPA) par exemple réclament l'exception de supériorité puisque le fait qu'il existe des joueurs de couleur dans l'équipe compte en quelque sorte selon eux pour du beur… Même un Nicolas Domenach pourtant guère avare pour soutenir leur cause a été obligé d'admettre (sur RTL dans On refait le monde du 1/06/16) que Deschamps a tout fait pour garder Benzema dans l'équipe, mais s'est rendu à l'évidence que celui-ci, à l'instar de Cantona naguère, la paralysait plus qu'il ne la boostait.
Par ailleurs Benzema n'a jamais brillé dans l'équipe de France, ce pays n'ayant jamais été sa cup of tea comme l'a rappelé MMLP que cela plaise ou non. Le fait le plus grave étant souligné à une émission animée par Eric Brunet (le 1/06/16 entre 13h et 14h) à savoir le retrait, la progression de la non participation aux clubs de foot d'une grande partie de ces jeunes influencés par le salafisme puisque celui-ci montre du doigt le foot comme pratique "impie" (haram) or c'est bien plutôt cela qui devrait inquiéter plutôt que les affres d'un enfant gâté voulant toujours briller sous les feux de la rampe.
3/Destruction de la liberté de pensée en France avec l'imposition en 1ère et terminale des élucubrations des Laclos, Bourdieu et Foucault :
Dans les livres des sciences économiques et sociales, de philosophie, de Français, il est évidemment impossible de penser à la complexité esquissée ci-dessus (réduite à la notion de "misère du monde") et plutôt de bon ton de faire passer comme étant tout autant des "besoins sociaux" les désirs narcissiques extrêmes des rebelles de salon (allant jusqu'à l'auto-mutilation et autres Nuits debouts contemporaines).
Ce serait selon eux "la" liberté (Laclos dans Les liaisons dangereuses) jusqu'à l'obligation de se donner, surtout pour une femme (DSK/Baupin) sous peine de paraître "coincée", "ringarde", voire "néo-réac"si l'on se réclame d'une certaine image, culture, de soi à préserver ; de même certaines différences seront posées comme une inégalité et donc une domination au sens toujours négatif d'oppression alors qu'une inégalité peut être justifiée par la compétence.
Sauf que cette dernière sera considérée comme uniquement transmise, autrement dit jamais liée ou si peu à une spécificité de potentiel qu'une situation sociale donnée certes favorisera ou pas ; sauf que ce n'est pas en simplifiant son acquisition, mais en l'accompagnant dans ses difficultés que l'on compensera l'écart dans l'égalité des chances comme le proposait feu Raymond Boudon pour lequel seul un petit paragraphe est consacré dans ces divers manuels alors que des pages entières de culpabilité et de raisonnements faux sont tartinées comme si la faillite de l'expérience soviétique n'avait servi à rien. Il y a là un réel "bourrage de crâne" comme me le rappelait une maman devant ses enfants qui s'en plaignaient, ne comprenant pas cette réelle injustice pour le coup, celle d'imposer une seule analyse qui en plus s'avère fausse.
s'il fallait illustrer cette pratique bien française de confondre liberté et licence (appelée aujourd'hui néo-libéralisme) il suffit d'observer les tensions autour de l'article 2 de ladite "loi travail", article pourtant défendu par la CFDT parce que loin d'isoler les salariés il permet d'amortir les ajustements négatifs dans les entreprises qui les nécessitent.
Or, que dit-on à ce sujet sinon l'apocalypse "en marche" broyant les salariés au profit du méchant capital alors que celui-ci n'est pas si homogène et en tout cas ne se réduit pas aux grandes firmes qui en effet adossées à la puissance étatique s'en sont souvent sorties : "to big to fail" (certaines coulent cependant). Sauf qu'il ne s'agit plus dans ce cas de capitalisme mais de mercantilisme c'est-à-dire l'alliance entre l'État et certains groupes de pression économiques politiques juridiques se partageant, en douce, les parts de marché via leur contrôle des conseils d'administration.
Seulement, cette stratégie qui voit un Président se transformer en vendeur avec rafales et sous-marins sous les bras ne remplace pas une réelle stratégie économique et politique permettant au plus grand nombre de bénéficier de meilleures conditions de prospérité. Cette stratégie passe nécessairement par l'avènement d'une gestion horizontale des entreprises et aussi des services publics comme l'enseignement dans lesquels les salariés et "usagers" seraient également actionnaires pour les unes, coresponsables pour les autres. C'est en tout cas tout un redimensionnement de l'assise politique qui se trouve en jeu, sans nécessairement changer de République…
Mais nous sommes de plus en plus loin du compte malgré l'apparence du contraire. Et ce n'est pas la faillite de l'expérience soviétique qui en raccourcira les délais, bien au contraire…comme si en France il y avait cette certitude croyant qu'il suffirait de réaliser le fantasme pour le rendre réel alors qu'il en devient tout au plus la caricature grimaçante comme on le voit au Venezuela, même si ses habitants vont à l'école et se soignent. Comme si le progrès social avait pour fonction de fabriquer des singes savants. Or, il semble bien que cela soit de plus en plus le dessein de ceux qui nous gouvernent afin que nous puissions mourir guéri(e)s et
Le 1/6/2016
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