« Fondamentalement,
l'École de Francfort pense que tant que l'individu a la conviction, ou même
l'espoir de croire, que son don divin de la raison lui permettrait résoudre les
problèmes auxquels est confrontée la société, la société ne pourrait jamais
atteindre l'état de désespoir et d'aliénation qu'ils considéraient comme
nécessaire pour provoquer la révolution socialiste.
Leur tâche était donc de saper l'héritage judéo-chrétien aussi rapidement que possible. Pour ce faire, ils ont appelé à la critique destructive la plus négative possible de toutes les sphères de la vie, afin de déstabiliser la société et mettre à bas ce qu'ils considéraient comme l’ordre «oppressif».
Leurs politiques, espéraient ils, se propageraient comme un virus, « poursuivant le travail des marxistes occidentaux par d'autres moyens», comme noté par l'un de leurs membres.
Pour compléter les progrès de leur «tranquille» révolution culturelle - mais en ne nous donnant aucune idée sur leurs plans pour l'avenir, l'École recommandait (entre autres):
1. La création d'infractions racistes.
2. Des changements continuels afin de créer la confusion
3
Leur tâche était donc de saper l'héritage judéo-chrétien aussi rapidement que possible. Pour ce faire, ils ont appelé à la critique destructive la plus négative possible de toutes les sphères de la vie, afin de déstabiliser la société et mettre à bas ce qu'ils considéraient comme l’ordre «oppressif».
Leurs politiques, espéraient ils, se propageraient comme un virus, « poursuivant le travail des marxistes occidentaux par d'autres moyens», comme noté par l'un de leurs membres.
Pour compléter les progrès de leur «tranquille» révolution culturelle - mais en ne nous donnant aucune idée sur leurs plans pour l'avenir, l'École recommandait (entre autres):
1. La création d'infractions racistes.
2. Des changements continuels afin de créer la confusion
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