samedi 25 novembre 2017

Égypte:message de l’islam réel en action

Par Lucien SA Oulahbib
La question (désormais triviale) du lien entre islam et islamisme se situerait uniquement selon certains autour des textes communs qui les rassembleraient en apparence mais les diviseraient en réalité ; mais ne pourrait-on pas se demander que s'il existe autant d'interprétations n'est-ce pas parce que les textes ou, plutôt, "le" texte, "leur" texte est ambiguë ? Tout en étant incréé donc intouchable ce qui empêcherait déjà toute modification de la pratique ?
Bien sûr la tendance dans l'exégèse médiatique dominante ne consiste pas à répondre, mais à renvoyer la charge de la preuve du côté des textes propres aux autres religions afin de montrer qu'il existe autant d'appels au meurtre de l'impie de part et d'autre, sans parler des massacres qui y seraient corrélés, c'est l'argument "fourchette" supposé imparable puisqu'il prétend répondre à toutes les interrogations.
Sauf que les religions comme le judaïsme et le christianisme ont bien avancé, bousculé certes par la

mardi 21 novembre 2017

« On ne savait pas »:suite…

Par  Lucien SA Oulahbib
Holodomor, suite de la terreur rouge

Massacre des harkis, terreur islamo-nationaliste suite

Certains à gauche et à droite s'offusquent de voir des mouvements dits "d'extrême-droite" monter en puissance. Sauf que ceux-ci s'affirment pour défendre non le passé fasciste ou nazi, du moins en majorité, mais l'avenir de leur peuple qu'ils pensent en danger du fait de multiples facteurs bien connus allant de l'immigration à la désindustrialisation en passant par la destruction de la culture de la langue et des singularités homme, femme, famille avec père et mère. Or, au lieu de critiquer l'ampleur qu'ils peuvent exagérément donner à certains de ces facteurs, ceux qui les diabolisent oublient déjà leurs propres crimes bien plus évidents puisqu'ils les légitiment encore en Algérie, en Russie, tout en ne répondant ensuite en aucune manière aux questions posées par les peuples inquiets….
Voilà le hiatus: au-delà de savoir si ces courants dits "souverainistes, néo-fascistes,

samedi 18 novembre 2017

Du catastrophisme ambiant et son supposé antidote…

Par LSA Oulahbib
L'intelligence des choses rétrécit indéniablement semble-t-il puisque émerge actuellement un nouvel obscurantisme inquisiteur doublé d'un millénarisme culpabilisateur mettant inlassablement en cause une certaine humanité, responsable et coupable, l'Occident en étant bien entendu la quintessence absolue ; pis, il serait, non, il est à l'initiative, c'est ce "mal" incarné celui d'un dit "anthropocène" nouveau concept, aussi artificiel qu'une modélisation, remplaçant par un claquement de doigt la figure pourtant bien ancrée de "l'interglaciaire" (dite "holocène").
Ainsi l'appel malthusien de "quinze mille scientifiques" tordant à souhait les données comme le relèvent certains résilients rappellent l'époque lyssenkiste qui cependant avait ses dissidents alors qu'aujourd'hui critiquer l'équation entre pollution=réchauffement climatique revient à se suicider en direct (ou de culpabiliser jusqu'à en tomber malade et en mourir tel Marcel Leroux, spécialiste du climat à qui l'on conteste également sa page wikipédia) ou plutôt à faire perdurer cette situation bien présente dans l'Université, en particulier française où le fait de ne pas professer du Foucault ou du Bourdieu, voire surtout de les critiquer, empêche toute carrière (à moins d'être bien établi comme Jacques Bouveresse…).
Ainsi encore le "débat" Charlie Hebdo/Plenel alors que ce dernier épouse les

dimanche 5 novembre 2017

Le calme avant la tempête?

Par Lucien SA Oulahbib le 5/11/2017
Les réels tardent à s'éclaircir, encore livides, encore sous le choc des tsunami idéologiques, ils émergent certes, ces réels, issus lourdement de ce fond de cécité boueuse qui les a maintenu (qui les maintient encore) sous ses basses eaux troubles ; mais ces réels (symboliques, civilisationnels, économiques, politiques…) suffoquent encore tant ils ont été empêché depuis des lustres de voir ce qui est perceptible de saisir comme vrai (et non pas seulement d'exact, - cf., mon avant dernier livre) au-delà des prismes relatifs qui cependant commencent à craqueler: en effet, qu'il s'agisse du réel de l'islam/isme, bien dégagé de son vernis post/chrétien culpabilisateur, en particulier concernant sa présence en Espagne (le livre de Sérafin Fanjul), qu'il s'agisse aussi (et l'on s'arrêtera là pour commencer) de l'analyse des flux démographiques où l'on voit une créature (un "alien") issu de ce vernis s'en prendre à Michèle Tribalat sous le prétexte qu'elle ne verrait pas, comme démographe, que les Afghans entassés à Calais sont des lecteurs de Victor Hugo (aussi) 
" (…) ce que Mme Tribalat voit, ce ne sont pas des jeunes qui, comme quelques Afghans que j’ai eu l’honneur de rencontrer à Calais au milieu des immondices où ils dorment tandis que j’écris ces lignes, savent Victor Hugo par cœur en farsi et ne comprennent pas pourquoi, chaque nuit, les Javert d’aujourd’hui ordonnent qu’on les asperge de gaz lacrymogène ; non, ce que Mme Tribalat voit, croit voir, ce sont des «colonnes de migrants» ". 



on voit de mieux en mieux que Michèle Tribalat fait son travail de démographe et non pas