jeudi 15 septembre 2016

La dictature d’extrême gauche de plus en plus enragée


Par Lucien SA Oulahbib 



L'extrême gauche, et ses compagnons de route postmodernes, relativistes, nihilistes, tient fermement dans ses serres en France (et dans la plupart des pays occidentaux)  l'Université, Collèges et lycées, FIAC, théâtre public, cinéma, la plupart des médias et ce de manière sinon explicite (en particulier les premiers de la liste) du moins implicite en imposant par exemple ses mots clés et tabous qui, franchis, suscitent immédiatement la mise à l'Index de fait, même si ici et là, et pour des raisons d'audience et donc de profitabilité, tous les médias ne réagissent pas au doigt et à l'oeil aux réquisitions (les cas Zemmour, récemment Sarkozy sur le climat…) de ce qu'il faut nommer une nouvelle Inquisition (dont la sociologie est à faire, mais j'en ai esquissé les pourtours dans plusieurs articles et ouvrages…mis à l'Index…).
Prenons quatre exemples : la nouvelle préposée à l'animation de la tranche 6h30 à 07h sur France Culture s'est encore fendue de cette réaction typique propre à la nouvelle Inquisition (encore fendue parce qu'elle s'offusquait il y a peu des arrêtés anti-burkini) parlant cette fois d'un acte "islamophobe" au fait qu'une tête de porc ait pu atterrir près d'un magasin de

mardi 13 septembre 2016

La manipulation idéologique du déficit public

Par Lucien SA Oulahbib 

Partons des conséquences pour commencer : en assénant que l'on peut être sans cesse en déficit on hypothèque d'abord le présent car à quoi bon innover transformer se bouger puisque l'argent, tel le pétrole, coule à flots ? Cette sorte de rente financière est à double tranchant comme on le voit au Venezuela, en Algérie…
Officiellement ce déficit devrait servir pour l'investissement du moins en bonne logique keynésienne, en réalité il sert au fonctionnement, aux ristournes électorales, à quelques augmentations salariales aussi, et ce "multiplicateur", politique, entretient peu à peu l'immobilisme, puis le gaspillage, avec la lenteur des services rendus, les produits de moins en moins attractifs, mais peu importe puisque une sorte d'hélicoptère monnaie (distribution à tout va) peut y pallier, renforçant alors  l'idée de travailler de moins en moins puisque cela n'a en fait plus aucune différence, cela n'a plus aucune conséquence tangible, surtout avec des taux d'intérêts quasi nuls voir négatifs, et d'abord tous les grands pays font de même, alors…
Certes cela se paye ; car les prix restent bizarrement fixes (ils devraient pourtant baisser eux aussi puisque le déficit serait là pour combler, y compris celui des cotisations sociales qu'il serait possible de subventionner par l'hélicoptère monnaie comme l'envisagent certains à "la gauche de la gauche"…). la conséquence de cette fixité étonnante des prix fait que les

lundi 12 septembre 2016

Au-delà du rien nihiliste? L’éternité…de la France

Par Lucien SA Oulahbib 

Les nihilistes antimodernes ou cette descendance croisée du technicisme affairiste, du léninisme, du nationalisme japonais italien allemand turc arabe, de l'hydre maoïste et islamique enfin assènent, toujours, entre deux coups de boutoir contre la liberté d'être et la démocratie, qu'il n'y a rien d'autre qu'eux.
Après-moi le déluge, moi ou le chaos, " (Le Parti) (Le Plus Haut) a toujours raison" deux formules bien connues qui accompagnent leurs attaques incessantes sur tous les fronts ; leur guerre d'usure est à la fois spirituelle mentale sociale économique et politique, jusqu'à ce propos d'une jeune journaliste d'Europe 1 expliquant (11/09/16 au matin) que la diminution de "10%" des contrées "sauvages" équivaut à avoir "volé la Terre" ; l'humain ainsi expulsé de son propre environnement, considéré comme un voleur alors qu'il a fait de la Terre un joyau si l'on réfléchit bien, au-delà bien sûr des "dégâts du progrès" qu'il ne s'agit évidemment pas d'oublier.
Car une terre livrée à sa propre lutte interne c'est immanquablement la victoire des ronces et des mauvaises herbes, même si l'ortie peut servir à se flageller. De même une société, peut-elle laisser déployer, à égalité, "bonnes" et "mauvaises" herbes ?. Une ronce protège les mûres, le fruit le plus séduisant sait s'entourer des défenses les plus cruelles, à l'instar des épines protégeant également les roses. Les apparences sont donc trompeuses, leur séduction est toujours ondoyante, demain on rasera gratis, notre religion relie à la paix, notre paix bien sûr.
Et certains sont enclins à y croire, persuadés que la ronce l'ortie ne sont qu'occidentales,

mardi 6 septembre 2016

CE QUI EMPECHE LE CONFLIT ISRAELO-PALESTINIEN DE PRENDRE FIN

Université Jean Moulin / Formation / Formation continue

CE QUI EMPECHE LE CONFLIT ISRAELO-PALESTINIEN DE PRENDRE FIN

Cycle n° 25

M. Lucien OULAHBIB
Docteur habilité à diriger des recherches
 

Depuis la déclaration Balfour (1917), les années 1920 qui ont vu démocrates juifs et arabes dialoguer ensemble, puis la chute de l'empire Ottoman (1923) la partition de 1947 égrainée ensuite par  la succession des principales dates de ce conflit  jusqu'à nos jours, ce séminaire tentera de montrer en quoi  le rapprochement entre juifs et arabes palestiniens a été en fait sans cesse empêché et ce bien avant la partition de 47 avalisée par l'ONU. A l'époque, Israël était d'ailleurs bien moins étendu que maintenant, et pourtant, son émergence a été contestée, moins par les palestiniens de l'intérieur que par les puissances arabes de l'extérieur. Il semble bien qu'il en soit de même aujourd'hui : ainsi en 2011 un plan israélo-palestinien (The Palestine Papers) a été dévoilée par Al Jazeera, ce qui a empêché l'établissement d'une paix des braves ;  le but de ce cycle de conférences consistera justement à en sérier le plus objectivement qui soit les obstacles extérieurs et intérieurs.

La déclaration Balfour de 1917
La vie des juifs et des arabes en Palestine à la fin du 19ème siècle et durant les années  20-47
La guerre 47-48, l'indépendance d'Israël, la question de Jérusalem : que s'est-il, réellement, passé ? Les divers narratifs sur ces sujets.
Les réfugiés palestiniens et aussi les réfugiés juifs expulsés des pays arabes
Les guerres de 1956 et de 1967
. Le septembre noir jordanien de 1971
. La guerre du Kippour (1973)
La montée de la radicalisation palestinienne en 1975 à la suite de l'accord de paix entre Israël, l'Egypte et la Jordanie
La guerre du Liban,
Les répercussions de la crise syrienne actuelle
L'enjeu idéologique du conflit israélo-palestinien dans le monde en général, en France en particulier
Et maintenant ?…
NOUVEAU CYCLE


Jeudi 16h à 18h - (50h)
(Début le 13/10/2016)

Tarif : 298€