samedi 31 mai 2014

En 100 jours, Matteo Renzi a déjà changé l'Italie

La baisse des impôts des ménages les plus modestes et la nouvelle loi électorale sont ses mesures phares.
De notre correspondant à Rome,
Cent jours, sept réformes majeures: c'est au pas de charge que le gouvernement de Matteo Renzi, 41 ans, a franchi ses trois premiers mois de présidence du Conseil italien. Avec une efficacité couronnée par les urnes.
De l'abolition des 110 provinces, aux 10 milliards d'euros de cadeaux fiscaux, en passant par la promotion des femmes à la tête des grands groupes publics italiens, rien n'a été laissé de côté ni au hasard. Conformément aux promesses faites devant le Parlement italien en février, Matteo Renzi a engagé des réformes majeures, attendues depuis longtemps. Pour les faire approuver à une classe politique parfois réticente, il n'a pas hésité à poser la question de confiance à onze reprises, un record. La réforme de la loi électorale est sans doute la plus emblématique. Baptisée «Italicum» cette nouvelle législation

Démocratie Directe : allons-y !

Par  5pts le May 18, 2014 · Flag

democratie directe
La France traverse une crise politique de grande ampleur. Les Français n'ont plus confiance dans les hommes politiques (11% seulement font confiance aux partis politiques!), ni d'ailleurs dans aucune structure de représentation. Cette défiance tient à une cause principale: nos "représentants" nous représentent très mal.
La seule réponse valable consiste à redonner la parole au peuple.
Et, pour cela, il est impératif d'offrir la possibilité d'un vrai référendum d'initiative populaire. Contrairement à ce que la propagande médiatique a prétendu, en effet, la réforme constitutionnelle de 2008 n'a pas créé un référendum d'initiative populaire. Car le dispositif créée par la réforme Sarkozy est,

Un référendum d’initiative partagée pour réclamer… un vrai référendum d’initiative populaire

30 MAI 2014 par THIEULLOY (DE) GUILLAUME dans AUTRES, EUROPE, JUSTICE, LA UNE, POLITIQUE, SOCIÉTÉ avec 4 COMMENTAIRES

Pays Réels démocratie
© Pays Réels
Chers amis,
Les élections européennes ont montré une nouvelle fois à quel point les préoccupations du peuple français et celles des « élites » étaient éloignées. Ces presque 60% d’abstention s’expliquent très largement par le fait que le peuple a l’impression que tout se joue dans son dos et que sa voix ne compte pas.
La réponse à cette grave crise de confiance est simple: il suffit de rendre la parole au peuple, grâce au référendum d’initiative populaire. Or, il existe désormais un moyen d’imposer ce référendum d’initiative populaire : depuis décembre dernier, le référendum d’initiative partagée est enfin applicable (les lois organiques permettant son application que nous avons attendues pendant 5 ans ont enfin été promulguées).
Ce référendum est certes très éloigné d’un vrai référendum d’initiative populaire, puisqu’il y faut l’appui de près de 200 parlementaires et de près de 4,5 millions d’électeurs inscrits. Mais, si nous réunissons ces deux conditions, le président est désormais tenu par la constitution de tenir ce référendum dans un délai d’un an.
Or, la plupart des parlementaires appartiennent à des partis ayant dans leur programme le référendum d’initiative populaire. On voit donc mal comment ils pourraient le refuser si nous parvenons à réunir 4,5 millions de citoyens. Si nous y parvenons, nous pourrons imposer que le premier référendum d’initiative partagée soit pour réclamer… un

vendredi 30 mai 2014

Être libéral et voter Front National, un choix impossible


Publié le  dans Politique par Contrepoints

Quelles que soient les raisons que l’on puisse chercher pour le justifier, un vote Front National pour un libéral n’a aucun sens.

Pour un printemps social, un slogan FN ou CGT?
Dans un article publié récemment, un de nos auteurs soutenait que « voter Front National est une option possible pour un libéral ». Certes, le jugement était nuancé et fondé essentiellement sur des raisons de « pragmatisme politique. [..] Le vote Front National pour un libéral n’est certainement pas un vote d’adhésion ! »… Toutefois il donnait sept raisons qui, « en tant que libéral, [lui] font préférer Marine Le Pen et son rassemblement à tout autre parti ». Ces raisons périphériques sont pourtant loin d’être suffisantes.
La première chose qui devrait pourtant alerter tout un chacun, est la constance avec laquelle le Front National lui-même se revendique d’un antilibéralisme intégral. Je pourrai aligner des centaines de citations, je n’en sélectionnerai que trois récentes :
Pour Bertrand Dutheil de La Rochère, Porte-parole de la campagne de Marine Le Pen (communiqué du 15 février 2012), « seule Marine Le Pen rejette l’ultra libéralisme qui ouvre les marchés à tous les vents mauvais de la mondialisation et qui privatise pour

France in 14bn-euro tax black hole

French President Francois Hollande answers journalists' questions

French President Francois Hollande's approval ratings are consistently below 20%

Related Stories

The French government faces a 14bn-euro black hole in its public finances after overestimating tax income for the last financial year.
French President Francois Hollande has raised income tax, VAT and corporation tax since he was elected two years ago.
The Court of Auditors said receipts from all three taxes amounted to an extra 16bn euros in 2013.
That was a little more than half the government's forecast of 30bn euros of extra tax income.
The Court of Auditors, which oversees the government's accounts, said

Université d'automne en économie autrichienne 4ème édition à Troyes du 10 au 12 octobre 2014


Pour la 4ème édition de l'Université d'automne en économie autrichienne, et conformément à sa raison d'être, une série de conférences visera à initier les participants aux fondamentaux de cette école d'économie. À l'issue d'un cycle de 5 conférences intitulé « Économie en 5 leçons », ils seront à même de saisir les principes et les concepts clés (monnaie, épargne, banques, etc.) nécessaires à une bonne compréhension de nombre de phénomènes économiques actuels : inflation, chômage, crise financière, etc.

Un autre cycle de cinq conférences mené en parallèle abordera le thème de la « pauvreté ». Ce sujet est au cœur des préoccupations de la science

jeudi 29 mai 2014

Anti-lepénisme primaire et mépris du peuple

Ecrit le 28 mai 2014 à 15:38 par Quentin Jacquet dans Poing de vue
 
Anti-lepénisme primaire et mépris du peuplePartout, sur les réseaux sociaux, dans les quotidiens, au milieu des sentiments diffus, mêlant désespoir de salon et antiracisme adolescent, la victoire du FN aux élections européennes est, depuis plusieurs jours, l’occasion des plus grands délires soixante-huitards qui nous aient été donnés de contempler sur la scène médiatique française. « Retour aux années 1930 », « démocratie en danger », « république menacée », les spécialistes de la larme écrite arborent plus que jamais les couleurs de l’indignation professionnelle. La belle France aux citoyens dormant paraît livrée à elle-même, impuissante face à ce qui semble être la plus grande apocalypse de tous les temps.
Les abstentionnistes sont devenus les collabos par inadvertance. Honte à eux ! Et que dire de ses Français indignes qui se sont laissé aller à la colère ? La débâcle est telle que France 2 a cru

La machine est… un homme comme les autres

par Yves Montenay, écrivain, ingénieur, géographe

La machine ? C’est tout à la fois le diable et le Bon Dieu. Pour les uns, c’est l'ennemi. L’instrument de nouvelles formes d’esclavage. Pour les autres au contraire, c’est le Bon Dieu. L'allié, le protecteur de nos fragilités physiques, l’outil de la délivrance. Yves Montenay pense au contraire que le robot, la machine, ne méritent pas d’aussi extrêmes appréciations. Il remarque malicieusement que nous les humains, nous sommes souvent routiniers et machinaux. En somme la machine est un homme comme les autres…
La machine, un diable impuissant ? 

La machine, c’est le diable : elle détruit l’emploi des « travailleurs », elle génère un monde mécanique, machinal, qui sera sans pensée ni culture et qui fait du livre un objet dépassé¹. Parallèlement (incohérence !), ce serait un diable impuissant : la productivité stagne, voyez Stiglitz, ou encore Pollin qui écrit : « La croissance de la productivité est revenue à des niveaux très faibles… épuisement du progrès technique » ².

C'est un raisonnement bien rapide ! La productivité globale d'un pays ne dépend pas que des machines. Elle dépend à long terme de l'efficacité de l'enseignement (qui semble en baisse en Occident). Dans l'immédiat, la productivité pâtit d'abord des réglementations foisonnantes notamment en matière de droit du travail, de fiscalité, de sécurité ou d'environnement. Malgré cela, notre niveau de vie ne s'écroule pas. Donc les innovations (au sens large) ont continué à apporter d'importants progrès, et c’est ce qui nous permet de supporter le surcoût des fantaisies dogmatiques ou clientélistes (règlementations ci-dessus, multiples impôts et cotisations, devenues « usines à gaz » au fil des compromis). Dans le seul domaine de la gestion du personnel, ce sont les comptables, avec leurs machines et leurs logiciels, qui permettent aux entreprises de faire face au délire réglementaire.

Remarquons par ailleurs que, comme Stiglitz, Pollin classe les nouveaux usages en « bons » et en « mauvais » : le

mercredi 28 mai 2014

Quelques éclaircissement pour ceux qui comme moi n'avaient rien compris !

Nicolas Sarkozy, le 9 mai 2012.
Nicolas Sarkozy, le 9 mai 2012.
Crédit : AFP

EN CHIFFRES - Selon Jérôme Lavrilleux, les comptes présentés par l'ancien chef de l'État seraient faux.

Même éloigné des affaires courantes, Nicolas Sarkozy ressent les effets de l'affaire Bygmalion. En cause, les comptes de sa campagne présidentielle de 2012. Selon les révélations de Jérôme Lavrilleux et de l'avocat de la société d'événementiel, l'ancien président de la République aurait déclaré - sans le savoir - de fausses sommes au Conseil constitutionnel.

21,339 millions d'euros : la somme déclarée par Nicolas

Tout est à refaire

Déjà démantelée – droite d’un côté, centre de l’autre – l’UMP a réussi au-delà de tout pronostic son opération d’autodestruction. Le parti est en lambeaux et ceux qui l’animent sont comme de grands blessés : rarement on aura vu se dérouler en si peu de temps scénario d’une telle intensité.
Au moment où le PS est abandonné par son électorat et commence à s’interroger sur la personne même du président de la République, le spectacle affligeant de la droite donne le sentiment d’un gâchis révoltant. C’est une évidence : dans cette France à l’arrêt devenue sujet d’inquiétude pour nos principaux voisins, les déchirements de l’opposition sont autant d’étapes perdues sur le chemin de la reconquête du pouvoir.
Mais paradoxalement, ce pourrait être aussi une chance. Car ce parti toujours hanté par la défaite de 2012, ce concentré de haines recuites traversé de lignes idéologiques divergentes,

Européennes : le PS entre déconfiture et immobilisme

28 MAI 2014 par THIEULLOY (DE) GUILLAUME dans LA UNE, POLITIQUE avec 0 COMMENTAIRE

Selon les mots mêmes du Premier ministre, les résultats des élections européennes sont un « séisme » politique. Pourquoi séisme ? D’abord, parce que l’abstention est restée à un niveau impressionnant (même si elle a un peu reculé par rapport à 2009) : autour de 57 %. Et, ensuite, parce que le Front national est sorti en tête de ces élections : autour de 25 %, nettement devant l’UMP (20,3 %) et le PS (moins de 14 %, soit son plus mauvais score de l’histoire aux élections européennes).
Pour être franc, je ne suis pas certain du tout que le diagnostic soit juste. Que le PS ait pris une claque, c’est assurément vrai – et je m’en réjouis vivement.
Que l’UMP ait pris une claque, comme l’ont dit la plupart des commentateurs, c’est nettement plus discutable : si l’on ajoute le score des listes UDI, en se souvenant que l’UMP avait fait listes communes avec les centristes en 2009, on obtient un score assez proche de celui de 2009, en voix comme en sièges.
Ce qui est plus inquiétant pour la droite dite « républicaine », c’est qu’elle est partie en ordre dispersé et que les

L’état d’urgence économique

28 MAI 2014 par LES4V dans ECONOMIE avec 0 COMMENTAIRE

La France ne va pas dans le mur ; elle est déjà dans le mur ! Depuis des années, voire des décennies, elle vit au-dessus de ses moyens en utilisant l’emprunt à outrance pour se dé­douaner des efforts d’économies. Elle reporte ainsi honteusement ses dépenses sur les générations à venir : c’était sur ses enfants dans les années 90, sur ses petits-enfants dans les années 2000 et, maintenant, ils s’attaquent à nos arrière-petits-enfants ! Qui peut croire que l’on pourra indéfiniment spolier les générations à venir ?
Si les gouvernements successifs ont pu tromper le peuple français pendant des décennies, ce n’est pas le cas des investisseurs qui commencent à délaisser notre pays avec l’appui des agences de notation.
Voici le résultat de cette politique absurde :
– La part de l’industrie dans le PIB, qui était, comme en Allemagne, de 24 % en 2000, a chuté chez nous à 13 %, alors que nos voisins l’ont montée à 30 %.
– La rentabilité du capital, établie par Patrick Artus, directeur de la recherche chez Natixis, est passée, en quinze ans, de 16 à 15 % au Royaume-Uni, de 8 à 12 % en Allemagne. Elle s’est stabilisée à 12 % en Espagne. Mais elle s’est littéralement effondrée en France, en passant de 10 % en 1998 à moins de 7 % aujourd’hui.
– Le taux de marge catastrophique des entreprises françaises est, à ce jour, de 28 % – contre 45 % en Allemagne !

mardi 27 mai 2014

En marge de la visite du Pape, rappelons que les musulmans se convertissent au christianisme par millions

Posted On 27 mai 2014

TOPSHOTS-ISRAEL-PALESTINIAN-VATICAN-RELIGION-POPE-HOLOCAUST
Le pape termine à peine sa visite en Jordanie, en Israël et en Judée Samarie que le pressant rappel des chiffres qui montrent à quelle vitesse les musulmans fuient l’islam s’impose naturellement.
Ce n’est pas l’islam, mais le christianisme, la religion la plus représentée dans le monde. Ce n’est pas le christianisme, mais l’islam, qui recule. Ce sont les Chrétiens, et non les Musulmans, qui font le plus d’enfants… beaucoup plus d’enfants1
Car aucune décapitation, aucune pendaison pour apostasie, n’est assez dissuasive pour empêcher les musulmans de fuir l’enfer de l’islam.
C’est le Sheikh Ahmad Al Katani, président des Compagnons pour la Science de la loi islamique dont la mission est de nommer les imams et prédicateurs islamiques, qui sur Al Jazeera2 lançait ce cri d’alarme :
« L’Islam représentait la religion principale de l’Afrique. Mais le nombre de musulmans a diminué, ils ne sont plus que 316 millions, dont la moitié sont des Arabes d’Afrique du nord. Mais pour la partie non arabe, il n’y

Guy Millière n’a pas aimé le voyage et les paroles du Saint-Père en Terre sainte

Il explique pourquoi sur Dreuz.info et conclut en ces termes hallucinants :
Guy Millière n'a pas aimé le voyage et les paroles du Saint-Père en Terre SainteL’Église a derrière elle deux mille ans, ou presque, d’antisémitisme. Elle a retiré des catéchismes il y a quelques décennies seulement la mention de « peuple déïcide ». Il lui faudra encore faire des efforts pour cesser d’être antisémite.
L’Église a mis plus de quarante ans pour reconnaître l’existence d’Israël. Elle a toujours du mal à reconnaitre l’existence d’Israël. Elle trahit ce faisant l’éthique qu’elle prétend incarner.
La presse internationale cautionne tout cela, et après, on voudrait s’étonner qu’il y ait des Mohamed Merah, et des assassins tels ceux qui viennent de frapper Bruxelles !

Sur Google, « europhobe » bat « eurosceptique »

Sur Google, "europhobe" bat "eurosceptique"Guerre sémantique. Si sur Google, toutes époques confondues, « eurosceptique » bat « europhobe » (1 040 000 résultats contre 435 000), Google Actualités permet de constater que la tendance est à l’inversion : ces derniers jours, « europhobe » y devance « eurosceptique » (pourtant lui aussi en hausse) avec 48 300 résultats contre 43 300. Comment ne pas y voir un signe tangible de la diabolisation des opposants à l’Union européenne par l’oligarchie politico-médiatique ? En effet, être sceptique est un droit tandis que « phobe » est de plus en plus synonyme d’infraction à la loi (homophobie, etc.).

PLUS IL Y A DE GRUYERE, PLUS IL Y A DE TROUS.

Avertissement : Le vrai Gruyère n'a pas de trous contrairement à ce que pensent la plupart des Français. (JG)

Gabriel Lévy, Association des contribuables d’Aubagne.
27 mai 2014

Pardonnez l’image du fromage dont la connotation est exclue de ce propos.

Monsieur Hollande est à Bruxelles pour obtenir la diminution de la contrainte européenne qui s’exerce sur les budgets des états membres. Il s’agit une fois de plus d’obtenir, sans être sanctionnés, de s’exonérer de la règle qui impose la réduction des déficits budgétaires de la France. La démarche est habituelle de la part de tous nos présidents.

Chacun sait que les déficits budgétaires sont couverts par des emprunts, que notre dette augmente, que le produit de l’impôt sur le revenu ne sert qu’à régler les intérêts de la dette, que la seule volonté politique suffirait à réduire le « train de vie de l’état » de 3 %.

Les gouvernants l’imposent bien aux particuliers pour qui…  plus il y a de trous, moins il y a de gruyère.

Coincés dans les embouteillages

Coincé dans les embouteillages, le chef d’une des plus grandes puissances mondiales se hâtait avec lenteur pour rejoindre son palais où il devait prendre connaissance de la plus mémorable raclée subie par son parti en un demi-siècle.
Coincée dans les embouteillages, la France est immobile. Deux années de décisions à contresens lui ont fait perdre un temps infini : augmentation des dépenses publiques, embauche de dizaines de milliers de fonctionnaires, choc fiscal pour tous, instauration d’un climat de défiance vis-à-vis des entreprises et culpabilisation de la finance. Exactement le contraire de ce qu’ont fait les autres pays, nos voisins, pourtant engagés sur la même route que nous, affrontant les mêmes difficultés que nous.
Coincée dans les embouteillages, notre économie fait du surplace et la France déprime : pas

Chronique postmortem

Posted by Lucien SA Oulahbib on 26/5/2014

Deux idioties de plus : la première venant de Moscovisci sur BFM business (la seule radio à peu près écoutable) qui implore lundi 26 mai au soir "une politique industrielle forte" alors que lui et ses imitateurs sont au pouvoir depuis des décennies ; seconde idiotie, une "sociologue"clame doctement sur France Info que le vote "jeune" pour le FN vient essentiellement de jeunes déscolarisés ou ayant des difficultés d'embauche ; il faut absolument que j'en parle à ma meilleure élève en 1ère pro (prothèse dentaire, eh oui j'enseigne en lycée pro aussi faute de postes squattés par la sociologue ci-dessus) car cette élève a voté FN pour les européennes, d'origine vietnamienne, ses copies sont impeccables, bien plus que celles observées en lycée généraliste voire à la fac (3ème année…) elle a l'air bien autre chose qu'une "nazie" comme l'énonce une de ses camarades énervée par le score élevé du FN.
En aparté je lui avoue avoir voté pour Nous Citoyens (elle sourit gentiment, comme si j'étais un peu gaga mais elle me le pardonne) après avoir hésité pour l'UDI parce