lundi 30 mars 2015

Moins de prélèvements obligatoires c’est plus de croissance économique

par 

Dans une Etude publiée en 2012, les deux chercheurs, Tim Knox et Ryan Bourne, du think tank britannique, Centre for Policy Studies, ont démontré que les pays dotés d’un poids de prélèvements obligatoires à moins de 40 % du PIB, ont une croissance moyenne supérieure à ceux dont les prélèvements dépassent 40 % de leur PIB.L’Etude prenait en compte 28 pays de l’OCDE essentiellement pendant la période 2003-2012, et montrait que le taux de croissance moyen pour les Etats dans lesquels on retranche moins de 40 % de prélèvements obligatoires avait été de 3.1 %/an contre 2 % pour les autres !

Nous avons fait la même comparaison entre 2010 et 2014 en choisissant deux pays, eux-mêmes champions des prélèvements obligatoires (la France et le Danemark) et 5

mardi 17 mars 2015

Entrepreneuriat social | Comment conjuguer solidarité et efficacité économique ?

Mercredi 18 mars 2015, 17h30-19h  | Paris, Institut de France



Alors que la plupart des indicateurs économiques et sociaux de notre pays sont au rouge, de plus en plus de Français comprennent que notre modèle social est à bout de souffle. C’est cette même prise de conscience qui a conduit les Britanniques à chercher des solutions à travers la mise en œuvre de la Big Society depuis 2010.

La promotion du Social business et de ses outils fait partie intégrante de la vision portée par la Big Society. L’innovation sociale, à travers par exemple la création des social impact bonds, est au cœur d’une démarche qui cherche à responsabiliser les

lundi 16 mars 2015

La liberté économique améliore le bien-être humain

Etude de l’Institut Economique de Montréal

En lisant cette Note économique de l’Institut économique de Montréal (IEDM) écrite par Bradley Doucet et Yanick Labrie le lecteur obtient, en une quinzaine de minutes, un bref portrait de ce qu’est la liberté économique et de son importance fondamentale.

Des données sont présentées démontrant ses effets positifs, non seulement sur le bien-être matériel de base mais

lundi 9 mars 2015

Je vous propose un nouveau module de formation : Le Benchmarking.

Veuillez cliquer sur le lien suivant :

https://docs.google.com/presentation/d/17myi-9m13NegDRahAVzHDWmX7w6LZuDTyUcABcLALT4/edit#slide=id.p4


N'hésitez pas à poster vos commentaires et ou me contacter pour plus d'informations.

jeudi 5 mars 2015

Dialogue social : « laissez faire » employés et dirigeants Les pouvoirs se tiennent par la barbichette et ont peur de rendre leur prérogatives aux individus.

Par Jean Philippe Delsol
Et si l’Etat rendait leur liberté aux employés et aux employeurs ? Peut-être alors que la France du travail s’éveillerait. Mais il continue à vouloir tout gérer depuis le haut. Les entreprises n’en meurent pas toutes, mais toutes en sont atteintes.
Le projet de loi sur le dialogue social en est le paradigme. Les syndicats drapés dans leurs privilèges ont refusé tout accord et la loi veut prendre le relais pour simplifier en compliquant. Les IRP, Institutions représentatives du personnel (CE, délégués et CHSCT), se réuniraient mais conserveraient chacune toutes leurs prérogatives et leur personnalité juridique. Une belle pagaille en perspective ! Des accords seraient à négocier par branche, donnant toujours le pouvoir de blocage aux syndicats. Lorsque le dialogue pourra s’ouvrir dans les entreprises, pour autant qu’elles aient plus de 300 salariés, ça sera encore par signature avec des syndicats. Par ailleurs est proposée la création de nouvelles commissions paritaires pour s’ingérer dans les affaires des TPE, une solution que les syndicats adorent parce que le paritarisme les fait vivre financièrement.
Les pouvoirs se tiennent par la barbichette et ont peur de rendre leur prérogatives aux

lundi 2 mars 2015

Sortir du paritarisme pour sauver la Franc


par 
Après la chute du communisme en 1989, il a fallu de nombreuses années aux pays anciennement communistes pour se débarrasser des rigidités étatistes et pour réformer leurs économies exsangues. L’une des premières mesures adoptées a été l’abandon du concept de la lutte des classes, qui servait de socle au socialisme marxiste dans ces pays. C’est un peu ce que devrait faire la France aujourd’hui si elle veut réformer son économie.

Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, notre pays s’appuie sur le paritarisme, qui s’apparente en fait à une forme de lutte des classes qui ne dit pas son nom avec, d’un côté, le patronat et, de l’autre, les syndicats. Mais l’inconvénient du paritarisme, c’est qu’en réalité il a complètement rigidifié les relations sociales, en bloquant toute