COMMUNIQUÉ DE PRESSE - POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
Une harmonisation fiscale avec nos voisins
implique une baisse structurelle de 20 % de la fiscalité globale pesant
sur les entreprises
Paris, le lundi 23 novembre 2015 – Dans sa dernière étude, l’Institut
économique Molinari montre que la fiscalité des entreprises – en dépit du CICE
– continue de peser sur la reprise en France.
Les recettes de l’impôt sur les sociétés ont chuté de 48 % pendant la
première moitié de 2015. C’est plus que ce qui était anticipé suite à la montée
en puissance du CICE, programme conçu pour encourager la compétitivité et
l’emploi, ce qui montre que la reprise tarde à venir.
Une charge fiscale sur les entreprises qui continue de dépasser 60 %
Actuellement, la charge fiscale pesant sur une entreprise moyenne en France
représente 62,7 % de son bénéfice net avant impôts. Lorsqu’on pense
fiscalité des entreprises, on se focalise traditionnellement sur l’impôt sur
les sociétés, sans prendre en compte tous les impôts et taxes dus
Après avoir tenu pendant 2 années des réunions destinées à intéresser des organisations à ce que pourrait être un "Nouveau Logiciel". Je me propose maintenant de donner quelques pistes sur ce qu'il conviendrait de faire. Alternativement je placerai quelques messages de nos amis des associations et Think Tanks libéraux.
lundi 23 novembre 2015
samedi 14 novembre 2015
Bataclan, mon amour
Par Lucien SA Oulahbib
Est-ce un hasard ? Peut-être, mais pas sûr du tout à vrai dire, tant toucher le rock et son univers fait suite à ces attentats aveugles dans les boîtes de nuit, cafés, centres commerciaux en Israël en Inde au Kenya, afin de toucher au coeur au plus profond de l'esprit urbain le mode de vie occidental qui se diffuse un peu partout aujourd'hui pour le meilleur et pour le pire. Ces morts-vivants, bras zombifiés de l'islam nourri du logiciel rouge-brun voient le pire et prétendent ne pas en avoir un, eux, alors que leur pire est pire que tout porté par des robots posthumains.
Ce ne sont en effet pas des terroristes, mais des soldats aguerris et disciplinés recrutés moins sur le malheur supposé de leur jeunesse que sur le ressentiment de ne pas voir leur idéologie triompher sauf dans la mort.
Il faut nous débrancher de cette idée fausse prétendant que leur "réaction" (la vraie) serait le produit d'un impair et manque toujours venu d'Occident alors qu'il s'agit plutôt d'un énervement voyant que depuis la chute du Califat en 1923 l'idéocratie musulmane est en perte de vitesse, partout.
Certes, elle peut se réclamer encore d'une masse critique ; sauf que celle-ci, contrairement
Est-ce un hasard ? Peut-être, mais pas sûr du tout à vrai dire, tant toucher le rock et son univers fait suite à ces attentats aveugles dans les boîtes de nuit, cafés, centres commerciaux en Israël en Inde au Kenya, afin de toucher au coeur au plus profond de l'esprit urbain le mode de vie occidental qui se diffuse un peu partout aujourd'hui pour le meilleur et pour le pire. Ces morts-vivants, bras zombifiés de l'islam nourri du logiciel rouge-brun voient le pire et prétendent ne pas en avoir un, eux, alors que leur pire est pire que tout porté par des robots posthumains.
Ce ne sont en effet pas des terroristes, mais des soldats aguerris et disciplinés recrutés moins sur le malheur supposé de leur jeunesse que sur le ressentiment de ne pas voir leur idéologie triompher sauf dans la mort.
Il faut nous débrancher de cette idée fausse prétendant que leur "réaction" (la vraie) serait le produit d'un impair et manque toujours venu d'Occident alors qu'il s'agit plutôt d'un énervement voyant que depuis la chute du Califat en 1923 l'idéocratie musulmane est en perte de vitesse, partout.
Certes, elle peut se réclamer encore d'une masse critique ; sauf que celle-ci, contrairement
jeudi 12 novembre 2015
La Suisse, l’autre pays de l’apprentissage !
Par Nicolas Lecaussin (avec Pierre Bessard)
Un article de l’IREF
Un article de l’IREF
L’image de la Suisse pour les Français est surtout celle d’un paradis fiscal, un asile pour ceux qui fuient l’enfer des impôts. Or, la Suisse est en réalité un pays industriel. Contrairement aux clichés, le secteur financier suisse ne représente que moins de 15% du PIB.
L’industrie (production des biens, sans les services) emploie plus de 20% de la population active. La Suisse n’est pas seulement une terre d’accueil grâce à son régime fiscal. Environ 140.000 Français travaillent dans l’industrie et les services suisses surtout dans les zones frontalières. Ils rejoignent tous les jours les 150.000 Français qui sont établis en Suisse. Le premier contributeur au PIB est le secteur MEM (machine-électricité-métallurgie). Il est aussi le premier employeur du pays avec 338.000 personnes.
Le secteur industriel est florissant grâce, bien entendu, à un système fiscal propice aux entreprises
Les nouveaux totalitaires et leurs idiots utiles se focalisent sur Israël
Par Lucien SA Oulahbib
Tout d'abord, lorsque l'on possède encore la patience de lire leur prose, les bras hélas en tombent toujours tant leur justification aurait pu être être signé paraphé par Mr Jourdain dans une pétition écrite à sa gloire. Ainsi, clament dans Libération (29.10.2015) Sandra Laugier, "Professeure de philosophie à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne et Albert Ogien, Sociologue, directeur de recherche au CNRS" :
C’est bien parce qu’ils se sont opposés à l’exploitation, à la subordination et à l’aliénation des dominés que les intellectuels se sont rangés «à gauche».
Mais qui donc pourrait être pour l'exploitation, la subordination, et l'aliénation des dominés" ? Qui ? À part quelques adeptes du sang bleu ou de la supériorité en soi de la race, de la religion ? Où l'on voit bien que ces doctes universitaires et scientifiques du haut de leur chaire et laboratoire voguent dans des généralités qu'ils pensent encore être sous-tendues par des analyses solides telles que "le capitalisme repose sur l'exploitation", la "société de classe" sur la
Tout d'abord, lorsque l'on possède encore la patience de lire leur prose, les bras hélas en tombent toujours tant leur justification aurait pu être être signé paraphé par Mr Jourdain dans une pétition écrite à sa gloire. Ainsi, clament dans Libération (29.10.2015) Sandra Laugier, "Professeure de philosophie à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne et Albert Ogien, Sociologue, directeur de recherche au CNRS" :
C’est bien parce qu’ils se sont opposés à l’exploitation, à la subordination et à l’aliénation des dominés que les intellectuels se sont rangés «à gauche».
Mais qui donc pourrait être pour l'exploitation, la subordination, et l'aliénation des dominés" ? Qui ? À part quelques adeptes du sang bleu ou de la supériorité en soi de la race, de la religion ? Où l'on voit bien que ces doctes universitaires et scientifiques du haut de leur chaire et laboratoire voguent dans des généralités qu'ils pensent encore être sous-tendues par des analyses solides telles que "le capitalisme repose sur l'exploitation", la "société de classe" sur la
dimanche 8 novembre 2015
« L’enfant, la mort et la vérité » refusée
Par Lucien SA Oulahbib
S'il y avait un symbole fort de la cécité occidentale et en particulier française sur la question du conflit israélo-arabe, il est fort probable que les historiens du futur (du moins les plus objectifs) choisiraient cet évènement que fut la mort, présumée, du dénommé " Mohamed Al Dura", icône s'il en fut et s'il en est encore de la nouvelle haine mondiale anti-juive comme l'a indiqué à plusieurs reprises Pierre-André Taguieff.
C'est ce que relatent également Esther Shapira et Georg Hafner (respectivement journaliste et auteur allemands dans leur second opus sur l'affaire "L'enfant, la mort et la vérité La Maison d'Édition,2015) et soucieux semble-t-il d'en avoir un peu plus le coeur net que lors de leur premier film (Trois balles et un enfant mort : qui a tué Mohamed al Dura) ; car cette mort suscita un séisme mondial charriant un torrent de haine se manifestant par nombres d'assassinats dont celui du journaliste Daniel Pearl ; la mort de cet enfant fut attribuée, d'emblée, comme si cela allait de soi, et pourtant sans aucune preuve, à des tirs israéliens et ce "45 minutes"durant selon l'unique caméraman, palestinien, de la scène, et travaillant depuis longtemps avec l'envoyé spécial de France 2 Charles Enderlin ; une affirmation que Esther Shapira et Georg Hafner réfutent (même si elle avait été étayée au début et hâtivement par l'armée israélienne en se basant sur les…images du cameraman d
S'il y avait un symbole fort de la cécité occidentale et en particulier française sur la question du conflit israélo-arabe, il est fort probable que les historiens du futur (du moins les plus objectifs) choisiraient cet évènement que fut la mort, présumée, du dénommé " Mohamed Al Dura", icône s'il en fut et s'il en est encore de la nouvelle haine mondiale anti-juive comme l'a indiqué à plusieurs reprises Pierre-André Taguieff.
C'est ce que relatent également Esther Shapira et Georg Hafner (respectivement journaliste et auteur allemands dans leur second opus sur l'affaire "L'enfant, la mort et la vérité La Maison d'Édition,2015) et soucieux semble-t-il d'en avoir un peu plus le coeur net que lors de leur premier film (Trois balles et un enfant mort : qui a tué Mohamed al Dura) ; car cette mort suscita un séisme mondial charriant un torrent de haine se manifestant par nombres d'assassinats dont celui du journaliste Daniel Pearl ; la mort de cet enfant fut attribuée, d'emblée, comme si cela allait de soi, et pourtant sans aucune preuve, à des tirs israéliens et ce "45 minutes"durant selon l'unique caméraman, palestinien, de la scène, et travaillant depuis longtemps avec l'envoyé spécial de France 2 Charles Enderlin ; une affirmation que Esther Shapira et Georg Hafner réfutent (même si elle avait été étayée au début et hâtivement par l'armée israélienne en se basant sur les…images du cameraman d
samedi 7 novembre 2015
Philippe Simonnot : « Le communautarisme gay met en danger la République »
6 novembre 2015 par les4v dans La Une
Philippe Simonnot, pourquoi ce livre, La rose et le brun, sur les relations ambiguës entre l’homosexualité et le nazisme ?
Tout d’abord la perte de repères illustrée récemment par le « mariage pour tous » en France m’a profondément impressionné.
Ensuite, j’ai voulu donner une suite à Juifs et Allemands : Préhistoire du génocide (Éd. PUF, 1999) où je posais l’énigme effroyable de ce pays, l’Allemagne, qui était un nouvel Israël pour beaucoup de Juifs Allemands, alors qu’il était en train de devenir la Première Puissance mondiale, avant d’aboutir à l’horreur que l’on connaît. Ce revirement inouï s’explique à mon sens par trois facteurs : 1) l’arrivée massive des Juifs de l’Est par centaines de milliers fuyant les pogroms russes (ce qui a profondément déséquilibré la relation judéo-allemande ; 2) la Déclaration Balfour (2 novembre 1917), qui annonçait que le gouvernement de Sa Majesté britannique voyait d’un œil favorable l’implantation d’un foyer national juif en Palestine, pour rallier les Juifs du monde entier du côté des
Ensuite, j’ai voulu donner une suite à Juifs et Allemands : Préhistoire du génocide (Éd. PUF, 1999) où je posais l’énigme effroyable de ce pays, l’Allemagne, qui était un nouvel Israël pour beaucoup de Juifs Allemands, alors qu’il était en train de devenir la Première Puissance mondiale, avant d’aboutir à l’horreur que l’on connaît. Ce revirement inouï s’explique à mon sens par trois facteurs : 1) l’arrivée massive des Juifs de l’Est par centaines de milliers fuyant les pogroms russes (ce qui a profondément déséquilibré la relation judéo-allemande ; 2) la Déclaration Balfour (2 novembre 1917), qui annonçait que le gouvernement de Sa Majesté britannique voyait d’un œil favorable l’implantation d’un foyer national juif en Palestine, pour rallier les Juifs du monde entier du côté des
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