samedi 15 octobre 2016

Le monde des gens contents...

Par Lucien SA Oulahbib 

Depuis des décennies (voire des siècles) les mêmes proposent toujours d'identiques et authentiques impasses en guise de solutions aux problèmes permanents du monde (injustices, inégalités…) et posent pourtant toujours devant, Gros-Jean comme devant, toujours contents. Sur tous les points. Obama est content. Hollande est content. Poutine aussi. Qui ne l'est pas ? Même Trump est content tant la campagne démocrate tourne au ridicule (il y a trente ans il aurait peloter quelqu'un…Baupin DSK Clinton peuvent dormir tranquilles…) et évite ainsi que l'on regarde ses solution de plus près. Hillary est contente: elle affiche un éternel sourire malgré Wikileaks. Même Plenel est content.
Sa gauche en effet est contente persuadée du Bien que son soleil propage

samedi 8 octobre 2016

Voici cinq affiches parmi les plus populaires du mois

Bonjour à tous !


Voici cinq affiches parmi les plus populaires du mois

N'hésitez pas à diffuser cette lettre à vos contacts qui pourraient être intéressés.

mercredi 5 octobre 2016

LA FIN DES HARICOTS par Marc Suivre

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La classe parlante n’a plus que cette antienne à la bouche : l’éruption des populismes signerait la fin de la démocratie. Dans une époque où le catastrophisme fait recette, le fait que ce dernier soit climatique ou politique importe au final assez peu : la fin du monde est proche ! Selon nos oracles, plus rien ne va. C’était mieux avant, mais surtout : ce sera pire après. Prêcheraient-ils le contraire que de toute façon personne ne les écouterait, les médias détestent les oiseaux de bon augure. Ceci étant, cette récente hystérie collective de nos élites mondialisées sur la fin des temps démocratiques est assez révélatrice des mécanismes tortueux qui servent de pensée aux Princes qui nous gouvernent et de l’idée, très particulière, qu’ils se font de notre chère démocratie.
Il y a populisme et populisme
democratie-des-grecsVous l’aurez certainement remarqué : les plus enclins à sonner le tocsin sont ceux qui, dans leur jeunesse folle, se sont largement fourvoyés du côté communiste de la force. Il est donc savoureux de voir ces ex-phares du prolétariat dauber, à foison, sur la démagogie supposée des populistes. Car de quoi parlons-nous ? Le populisme, selon nos grandes âmes, consiste à flatter le peuple (donc l’électorat), dans le sens le plus vil de son poil dru, ou, en d’autres termes, à dire au prolo ce qu’il convient de lui cacher. Avez-vous déjà rencontré beaucoup de politiciens qui se font élire en disant le contraire de ce que leurs électeurs veulent entendre ? Ainsi, Marine Le Pen incite-t-elle le peuple à rejeter l’Europe qui ne nous amène que bonheur et prospérité et le pousse à adopter la vilaine préférence nationale, dans un réflexe de repli sur soi totalement nauséabond commeauzheureslesplusombresdenotrehistoire. À ce titre elle est une

samedi 1 octobre 2016

Victor Orban sur l'UE : le discours d'un vrai dirigeant européen

9 août 2016

Voici la version française du discours de Victor Orban, devant les participants de la 27ème Université d’été de Baile Tusnad (Transylvanie ), en Roumanie, le 23 juillet 2016 :
"Bonjour Mesdames et Messieurs, Monsieur le Pasteur Tőkés, cher Zsolt Németh,
Je vous remercie de pouvoir être de nouveau parmi vous après un an. Se retrouver est déjà en soi un plaisir précieux, qui fait chaud au cœur. Ce serait une raison suffisante à l’existence de cette université d’été, mais celle-ci remplit aussi, depuis plus de deux décennies, une autre fonction, celle de donner la parole au premier ministre de Hongrie en fonction. Il s’est ainsi créé une situation, un espace convivial, où il est possible de parler de politique autrement, de parler de questions difficiles et compliquées d’une autre manière que celle à laquelle nous sommes contraints par le métier de la politique pendant les 364 autres jours de l’année. Mais il en résulte aussi des problèmes. Car la politique européenne a depuis longtemps épuisé, sur les grands sujets qui la préoccupent, les styles de discours que vraisemblablement personne ne comprend en-dehors de ceux qui les tiennent, mais qui au moins ne leur procurent pas de contrariétés. Mais l'ambiance d’une université d’été est différente. Si ici nous n’appelons pas par leur nom, d’une manière que nous aussi pouvons comprendre, les dilemmes qui nous taraudent, et qui ne sont d’ailleurs pas seulement nos propres dilemmes, mais des dilemmes qui tarauderont – comme vous allez l’entendre – l’Europe tout entière, eh bien notre université d’été ne vaudra rien, elle ne sera pas une université d’été mais un camp de propagande. Je dois donc faire ce qui dans ce métier – dans mon métier – est interdit, ce que tous les conseillers