Chronique de l’association
des contribuables de l’intercommunalité d’Aubagne
Gabriel Lévy
25 octobre 2014
« Le triomphe des démagogies est passager ».
Quelques semaines seulement pour les dirigeants socialistes. Etait-ce un
triomphe ? Même pas. Seulement un trophée décroché par hasard. Et Charles
Péguy de conclure : « mais les ruines sont éternelles ».
Nous sommes en 2014, mais nous pouvons vous confier la suite
des évènements. M. Hollande restera président, M. Vals conservera (peut-être)
son poste, mais ce qui est certain est que les déficits vont s’amplifier, car
il n’y a aucune possibilité de faire autrement. Les dirigeants socialistes
savent qu’ils perdront le pouvoir. Pourquoi engager des réformes fondamentales
au risque de gérer la faillite attendue, de remplir les rues de manifestants,
de provoquer la paralysie du pays, voire d’être obligés de réprimer ? Le
cauchemar !
En 1986, une « bavure policière », si tant est que
cela en fût une, provoqua le décès d’un jeune étudiant et entraina des
conséquences multiples et durables : la démission du ministre Devaquet,