La baisse des impôts des ménages les plus modestes et la nouvelle loi électorale sont ses mesures phares.
De notre correspondant à Rome,
Cent jours, sept réformes majeures: c'est au pas de charge que le gouvernement de Matteo Renzi, 41 ans, a franchi ses trois premiers mois de présidence du Conseil italien. Avec une efficacité couronnée par les urnes.
De l'abolition des 110 provinces, aux 10 milliards d'euros de cadeaux fiscaux, en passant par la promotion des femmes à la tête des grands groupes publics italiens, rien n'a été laissé de côté ni au hasard. Conformément aux promesses faites devant le Parlement italien en février, Matteo Renzi a engagé des réformes majeures, attendues depuis longtemps. Pour les faire approuver à une classe politique parfois réticente, il n'a pas hésité à poser la question de confiance à onze reprises, un record. La réforme de la loi électorale est sans doute la plus emblématique. Baptisée «Italicum» cette nouvelle législation










Deux
idioties de plus : la première venant de Moscovisci sur BFM business (la seule
radio à peu près écoutable) qui implore lundi 26 mai au soir "une
politique industrielle forte" alors que lui et ses imitateurs sont au
pouvoir depuis des décennies ; seconde idiotie, une "sociologue"clame
doctement sur France Info que le vote "jeune" pour le FN vient
essentiellement de jeunes déscolarisés ou ayant des difficultés d'embauche ; il
faut absolument que j'en parle à ma meilleure élève en 1ère pro (prothèse
dentaire, eh oui j'enseigne en lycée pro aussi faute de postes squattés par la sociologue
ci-dessus) car cette élève a voté FN pour les européennes, d'origine
vietnamienne, ses copies sont impeccables, bien plus que celles observées en
lycée généraliste voire à la fac (3ème année…) elle a l'air bien autre chose
qu'une "nazie" comme l'énonce une de ses camarades énervée par le
score élevé du FN.