Un blog québécois (1) fait l’éloge du capitalisme. Parce que le mot capitalisme n’a pas été, là bas, diabolisé comme en France.
L’auteur explique, en évoquant la
comparaison entre le socialisme et le capitalisme, « que tout régime
politique comparé à une utopie, à un idéal, en sortirait toujours
perdant ».
Car personne ne peut désigner un pays où
le socialisme a réussi à apporter à sa population liberté, bien-être et
enrichissement personnel pour améliorer son confort et les conditions
de vie de sa famille.
L’histoire démontre, ajoute le blog,
que le capitalisme, combiné à un régime politique qui en limite les abus
les plus flagrants, est le régime qui a le plus contribué à
l’amélioration de la qualité de vie des humains.
Caractérisant un système s’appuyant sur la propriété privée des moyens de production, sa
définition donne lieu à des variations dans l’espace et dans le temps,
et en fonction des sensibilités politiques des personnes qui emploient
le terme.
Le libre marché demeure, conclut le
court article, malgré ses déficiences, le régime social le plus apte à
sortir les masses de la pauvreté.
J’en veux pour preuve les centaines de
millions de Chinois, d’Indiens et de Brésiliens qui ont grandement
amélioré leur sort au cours des derniers 20 ans.
Ajoutons que c’est précisément parce
que seul le capitalisme est capable d’améliorer le sort des populations
qu’il est détesté par toutes les nuances de la gauche. N’est-ce-pas le
théoricien communiste italien Gramsci qui explique que le plus grand
danger politique arrive lorsqu’un peuple sort de la misère. A ce moment,
il quitte rapidement le combat de classe pour jouir des fruits de son
travail, et quitte le communisme…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
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