samedi 11 mai 2013

Là où le capitalisme s’épanouit, le socialisme s’écroule

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Un blog québécois (1) fait l’éloge du capitalisme. Parce que le mot capitalisme n’a pas été, là bas, diabolisé comme en France.
L’auteur explique, en évoquant la comparaison entre le socialisme et le capitalisme, « que tout régime politique comparé à une utopie, à un idéal, en sortirait toujours perdant ».
Car personne ne peut désigner un pays où le socialisme a réussi à apporter à sa population liberté, bien-être et enrichissement personnel pour améliorer son confort et les conditions de vie de sa famille.
L’histoire démontre, ajoute le blog, que le capitalisme, combiné à un régime politique qui en limite les abus les plus flagrants, est le régime qui a le plus contribué à l’amélioration de la qualité de vie des humains.
Caractérisant un système s’appuyant sur la propriété privée des moyens de production, sa définition donne lieu à des variations dans l’espace et dans le temps, et en fonction des sensibilités politiques des personnes qui emploient le terme.
Le libre marché demeure, conclut le court article, malgré ses déficiences, le régime social le plus apte à sortir les masses de la pauvreté.
J’en veux pour preuve les centaines de millions de Chinois, d’Indiens et de Brésiliens qui ont grandement amélioré leur sort au cours des derniers 20 ans.
Ajoutons que c’est précisément parce que seul le capitalisme est capable d’améliorer le sort des populations qu’il est détesté par toutes les nuances de la gauche. N’est-ce-pas le théoricien communiste italien Gramsci qui explique que le plus grand danger politique arrive lorsqu’un peuple sort de la misère. A ce moment, il quitte rapidement le combat de classe pour jouir des fruits de son travail, et quitte le communisme…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

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