José
Piñera : “J’ai toujours
pensé que les salariés sont plus concernés par les problématiques qui touchent
directement à leur quotidien, telles que la retraite, l’éducation et la santé.
Ils prennent leurs décisions pour assurer le bien-être de leur famille, et non
en fonction d’allégeances politiques ou d’idéologies collectivistes. La leçon
ultime de l’expérience chilienne est que seules aboutissent les révolutions qui
font confiance aux hommes et aux exploits dont ils sont capables, à condition
de les laisser libres d’agir”.
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