25 DÉCEMBRE 2013 par LES4V dans POLITIQUE
Les citoyens viennent de se réveiller assommés, ahuris et indignés par la remise d’un rapport sur la refondation de la politique d’intégration commandé par nos gouvernants – alors que c’est la politique d’immigration qu’il faut revoir.
Nos responsables politiques permettront aux citoyens indignés par cette démarche incompréhensible d’y discerner une manœuvre cynique et malhonnête, car qui contesterait que la richesse de l’héritage légué par les migrants au fil des âges fait partie de l’identité française ? Personne, et pour une simple et bonne raison, c’est que ces migrants, dont nombre d’entre nous sont les descendants, n’ont pas été intégrés, mais se sont intégrés et ont été assimilés dès la deuxième génération en se noyant dans la masse pour réussir leur vie.
Le problème aujourd’hui, et depuis une quarantaine d’années seulement, c’est que cette nouvelle immigration, massive, incontrôlée, considère que l’histoire de notre pays commence avec elle.
Ne soyons pas naïfs, cette immigration est de nature totalement différente de celle qui a marqué notre histoire, car elle
est issue d’une culture guidée par une religion incompatible avec nos sociétés démocratiques qu’elle combat.
C’est donc bien notre politique sur l’immigration qu’il faut refonder prioritairement. Car répondre à l’attente de cette immigration extra-européenne totalement étrangère à notre réalité historique, spirituelle et culturelle, c’est accepter qu’elle ne s’intègre pas et mettre en place une société fondée sur le communautarisme.
Alors, après le tollé provoqué par la publication de ce rapport, nos gouvernants s’indignent (sic) des « interprétations » qui sont faites et clament que ce n’est pas la position du gouvernement.
Pourtant, ce rapport a été commandé par le chef du gouvernement avec une lettre de cadrage claire et a été « suivi » par dix ministères (!) pendant plusieurs mois. Et, lorsque le rapport lui a été remis, le Premier ministre a salué « la grande qualité des travaux ».
Quelle hypocrisie ! Et si cela ne suffisait pas, certains reprochent au Premier ministre d’avoir publié le rapport, reconnaissant ainsi que le peuple n’a pas à connaître ce qui se trame dans son dos. Quel cynisme !
Quant au choix des « experts », il suffit de bien orienter leur désignation pour obtenir les conclusions souhaitées.
Quel gouvernement responsable oserait appliquer de telles mesures délirantes ? Car, enfin, sans même relever cette proposition outrancière de supprimer la loi sur l’interdiction du port du voile à l’école, peut-on expliquer aux citoyens ce qu’est « la dimension arabe orientale de la France » ? Pourquoi devrait-on revoir notre Histoire de France pour satisfaire les derniers arrivants ? Cette volonté de modifier l’Histoire rappelle les méthodes appliquées par des régimes totalitaires, méthodes qui portent un nom : le révisionnisme.
En fait, ce que visent ces idéologues malfaisants, c’est de briser le lien social en faisant en sorte que le citoyen ne soit plus l’héritier d’un passé qu’il a fait sien et abattre ainsi cette unité patiemment construite au fil des siècles, ce sentiment d’appartenance à une nation – en un mot l’identité.
Si notre classe politique persiste à ne pas vouloir adopter les mesures salutaires qui s’imposent, « la France rêvée de 2025 » risque de tourner au cauchemar. Dans ce cas, c’est l’assurance d’une nouvelle guerre de religion qui conduira à une guerre civile.
Nos responsables politiques pardonneront aux simples patriotes attachés à leur héritage de lui rester fidèle et de vouloir le défendre pour le transmettre aux générations suivantes.
Les citoyens doivent se réveiller ! C’est de notre avenir qu’il s’agit, de celui de notre descendance, de celui de notre patrie, que nos anciens nous ont léguée. La publication de ce rapport est une déclaration de guerre pour les patriotes.
On a imposé au peuple, par la force, le mariage pour quelques-uns, malgré l’opposition. Les citoyens devront, cette fois-ci, être plus déterminés et adresser un message persuasif à nos gouvernants : Touchez pas à ma nation !
Antoine Martinez
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