vendredi 8 août 2014

Les riches… ou la double peine ! augmentation des prélèvements, diminution des prestations…


7 AOÛT 2014 par GELE GERARD dans ECONOMIEJUSTICELA UNEPOLITIQUESOCIÉTÉ avec 7 COMMENTAIRES
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Réformes de la politique familiale ? Les allocations familiales soumises à des conditions de ressource ! En réalité,  c’est une augmentation d’impôt par une diminution d’allocation a des familles considérées « comme trop riche » Après leurs parents, les gosses de riche doivent être punis !
La progressivité fiscale !  Ce principe idéologique  c’est la règle pour les impôts et taxes que les « riches » payes !
La doctrine socialiste c’est la progressivité ! De 0% pour les « pauvres »  de 5/10/20/40/50/ %   pour les classes moyenne. Puis 60/75/ % voir 100 % avec le cumul de la CSG, et de l’ISF de certains contribuables. Ceux qui ne payent pas d’impôts sur le revenu bénéficient d’allocations très importantes, A F, logement, CMU, Assedic, ect… en partie non imposable ? c’est la double paye !  
L’idée reçue selon laquelle les riches ne paient pas d’impôts ne tien pas davantage : 5% des ménages acquittent 65 %
de l’ensemble de l’impôt sur le revenu.
La prétendue non-taxation du capital par rapport au travail est tout aussi fantaisiste : 36,5 % de prélèvements sur les dividendes et 39,5 % sur les intérêts. ( chiffres 2012)
Dans une campagne dominée par la démagogie, l’impôt est devenu une fin en soi !
L’impôt doit rester un instrument au service de trois objectifs : La couverture des dépenses publiques ; le dynamisme de l’activité et de l’emploi. Ce ne doit pas être une caisse de compensation entre les cigales et les fourmis !

Aujourd’hui, en France ce sont les persécutions fiscales et morales  qui sévissent : contre les actionnaires, les entrepreneurs, les entreprises, et les classes moyenne…  Depuis vingt-cinq ans, le mot d’ordre, de la gauche à la droite sociale, : c’est “sus aux riches”. ces salauds de privilégiés doivent “payer” pour recracher leur fric forcément volé au peuple…
La crise économique exacerbant le sentiment d’accroissement des inégalités, les politiques tirent sur la première corde sensible : celle de la richesse. Stipendier les riches au nom de la morale est une recette qui fonctionne relativement bien dans une France animée par «cette passion de l’égalité» que notait déjà Tocqueville.
L’ISF, créé en 1982, visait à punir la rente, afin d’encourager l’effort, les taxations exceptionnelle sur la fortune, ainsi que la taxation  des plus-values de cession, de la participation, s’inscrivent également dans cette vision moralisatrice de l’outil fiscal.
Résultat : environ 4 milliard de recette pour 12/14 milliards de perte fiscale…
 Voilà donc ou nous en sommes : Plus d’impôts, un coût de la vie qui augmente, des revenus qui stagnent ou baissent. Bref la poursuite de notre déclin, économique et moral…  grâce au socialisme, il n’y aura plus que deux partis en France: Ceux qui vivent de l’impôt et ceux qui en meurent.
Alors, contribuables, cherchez les synonymes qui convenaient : captation, spoliation, confiscation, vol, dépouillement… bêtise, jalousie, aveuglement !

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