Par Lucien SA Oulahbib le 13/11/2013
Les idéologues transis qui devenaient de plus en plus transparents ("le roi est nu !" disait la rue encore bon enfant) se ruent sur l'aubaine : typhon= réchauffement climatique ; et caricature oiseuse=racisme=extrême droite=FN. Pour le premier point, l'on oublie qu'il y a eu un tremblement de terre de niveau 7 un mois auparavant dans la région des Philippines, or la corrélation entre tremblement de terre et tsunami est bien établi ; reste à savoir s'il est possible de faire de même pour les typhons… En tout cas ceux-ci émergent dans une région à fortes secousses sismiques. Mais bien sûr les idéologues n'iront pas chercher de ce côté là alors que la corrélation entre tectonique des plaques et climat est probante (et non le contraire! comme s'empressent de le faire les idéologues évidemment pour éliminer tout facteur qui infirmerait leur prose).Second point sur lequel se ruent les idéologues transis de l'étatisme parasitaire : l'extrême droite et son désir masochiste de persifler parce qu'elle n'a rien d'autre à dire sinon de scier toute branche qui permettrait de soutenir un discours cohérent.
C'est que ce groupe a toujours été perdant, sauf sous Vichy évidemment. N'oublions pas qu'un Drieu La Rochelle a rejoint un Bataille dans l'adoration à Staline, après la défaite nazie ; l'extrême droite ne s'étant jamais remis de 1789, elle n'a toujours pas compris que son nationalisme a été le lit par la suite du totalitarisme jacobin puis communiste dont elle est l'image en creux : le peuple y est toujours sacrifié au profit d'une fausse élite de pédants rêvant encore à quelque paganisme impérial lorsqu'il feuillette leur feuille de choux habituel en mangeant leur choux à la crème fouettée (en attendant la séance du même nom).
Taubira rêvait d'une telle situation : elle est comblée, et peut faire passer des mesures anti-sanction permettant à la vraie extrême droite, celle des nervis nerveux qui cassent des boulangeries, violent dans les RER attaquent les écoles et rackettent les lycéens, de pavaner dans les rues… Le peuple n'a ainsi de plus en plus que les yeux pour pleurer, en attendant qu'une réelle alternative puisse enfin se lever. Ce n'est, visiblement, pas demain la veille.
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