Ecrit le 28 jan 2014 à 15:45 par Durandal Léonidas dans Poing de vue
Exploités fiscaux de toutes régions, révoltés identitaires, exilés religieux de l’intérieur qui voudraient une société où l’on penserait aux autres avant de penser à soi, garants d’une information libre sur internet, unissez-vous !
Vous l’aurez compris, la première condition de la révolte est aujourd’hui, l’unité. Il sera vraiment inutile de déployer nos énergies dans tous les sens dans des luttes individualistes qui sont à l’origine des difficultés que nous rencontrons. Frères révélateurs, jamais sans les autres !
Pourtant je sens poindre la critique. Nous pensons cet État représentatif de nos intérêts. Pire, nous nous regardons en chiens de faïence et de bronze. C’est vrai, qu’ai-je de commun avec un Mohamétan en cours d’intégration, un Dieudonniste provocateur, un Blanco enragé, un Catho cul pincé, un gros Geek innocent, un Bonnet Rouge intéressé, régionaliste et gauchisant (vous remarquerez que j’ai mis des majuscules pour tous ceux là en signe de respect) ? À première vue pas grand chose. Et pourtant…
Au-delà du message d’amour que j’aimerais vous délivrer, et de la nécessité de nous accepter dans nos différences, je vais abandonner l’Évangélisation nécessaire de notre pays durant quelques lignes et miser sur notre sens commun à tous.
Frères révélateurs, le système rigole de nos divisions !
Il fait peur aux intégrés en leur parlant de mouvement extrémistes (droite fascisante, antisémites et compagnie) et en se jouant de leur peur d’être ostracisés.
Il manipule les Geeks en les faisant participer à des documentaires sur la NSA ou en les infiltrant. Il leur fait croire qu’ils doivent défendre la veuve et l’orphelin ou que le système est moins bien organisé qu’eux tandis que le système joue sur leurs failles narcissiques.
Il décourage la dissidence en exposant publiquement la moindre de nos failles morales (ou en les inventant si nécessaire) tandis qu’il se vautre dans l’immoralité.
Il encourage les immigrés et les Français de première génération à rester dans leur médiocrité sociale. Il en fait le nouveau prolétariat qu’il peut exploiter pour se valoriser en tant que classe sociale protectrice.
Il fait de nous des êtres avides de réussite sociale tandis que nos familles explosent, et que la fiscalisation de cette réussite sociale pèse de plus en plus sur ceux qui la créent et de moins en moins sur des poules pondeuses déresponsabilisées.
Il soulage les parents de l’éducation de leurs enfants, mais les prive d’être parents.
Il excite la haine de l’étranger en lui donnant les mêmes droits qu’à un Français et en n’intégrant jamais ceux qu’il naturalise.
Vous l’aurez compris, ce ne sont pas des intérêts solidaires qui nous manqueraient et nous empêcheraient de réussir ensemble, mais une peur et une incompréhension qui nous sont communes. Car, en vérité, lorsque nous sommes animés de sentiments positifs, nos intérêts politiques convergent tous aujourd’hui vers un moins d’État.
« Désengageons progressivement l’État de notre société. Il nous protège individuellement de tout, mais si ‘les bateaux sont en sécurité dans le port, ils ne sont pas faits pour y rester’. Aujourd’hui, les hommes de ce pays sont des bateaux qui pourrissent d’incompétence dans le port de quelque terminal pétrolier administratif. »
Il n’est pas du rôle de l’État d’intégrer les étrangers. La confiance dans une société ne s’ordonne pas. Le Français de première génération n’a pas besoin, ni d’être exploité, ni subventionné avant de mourir dégénéré. Il a besoin d’être responsable de son destin.
Il n’est pas du rôle de l’État de gommer toutes différences de réussite. Le créateur a besoin de retrouver le fruit de son travail.
Il n’est pas du rôle de l’État d’élever les enfants. L’école échoue à éduquer et à remplacer les parents.
Il n’est pas du rôle de l’État de contrôler le débat public. Ce contrôle nous a empêché de nous réajuster idéologiquement. La dissidence a besoin de retrouver une place dans nos universités et plus généralement dans le débat social.
Il n’est pas du rôle de l’État de former l’élite dirigeante de notre Nation. Une élite saine est promue par un peuple sain. Un administratif ne fera jamais un dirigeant efficace, il promeut ceux qui lui ressemblent et qui sont toujours plus dégénérés à chaque génération (Cf. par exemple Queer Week à Sciences Po).
Il n’est pas du rôle de l’État de légiférer sur la couleur du papier toilette. Les lois sont faites de principes et non de détails qui s’empilent pour devenir toujours plus hermétiques au peuple. C’est une morale qui fait la Loi, et non la compilation de revendications individualistes, ou bien la volonté de diriger la moindre action des citoyens d’un pays.
Il n’est pas du rôle de l’État de faire d’Internet un lieu moins libre qu’ailleurs où tout serait contrôlé, où tout serait censuré et qui de plus, entraverait notre vie « réelle ». Internet n’est pas un lieu où l’on peut échapper aux sanctions juridiques contrairement à ce qui se dit. Par contre, le réseau pourrait vite devenir une structure totalitaire de sanction « a priori » si l’on n’y prenait garde, par auto-censure et intervention étatique. Or la sanction « a priori » est l’apanage des dictatures. L’auto-censure du peuple par le peuple est une autre forme de tyrannie où tout ce qui se dit doit être validé par tous. Si l’on n’y prêtait garde, Internet pourrait devenir la pire des prisons identitaires, chacun étant soumis à une transparence effarante et à une impossibilité de pouvoir s’exprimer socialement sans encourir les foudres d’une bien-pensance auto-immune.
Il n’est pas du rôle de l’État de gommer toutes différences de réussite. Le créateur a besoin de retrouver le fruit de son travail.
Il n’est pas du rôle de l’État d’élever les enfants. L’école échoue à éduquer et à remplacer les parents.
Il n’est pas du rôle de l’État de contrôler le débat public. Ce contrôle nous a empêché de nous réajuster idéologiquement. La dissidence a besoin de retrouver une place dans nos universités et plus généralement dans le débat social.
Il n’est pas du rôle de l’État de former l’élite dirigeante de notre Nation. Une élite saine est promue par un peuple sain. Un administratif ne fera jamais un dirigeant efficace, il promeut ceux qui lui ressemblent et qui sont toujours plus dégénérés à chaque génération (Cf. par exemple Queer Week à Sciences Po).
Il n’est pas du rôle de l’État de légiférer sur la couleur du papier toilette. Les lois sont faites de principes et non de détails qui s’empilent pour devenir toujours plus hermétiques au peuple. C’est une morale qui fait la Loi, et non la compilation de revendications individualistes, ou bien la volonté de diriger la moindre action des citoyens d’un pays.
Il n’est pas du rôle de l’État de faire d’Internet un lieu moins libre qu’ailleurs où tout serait contrôlé, où tout serait censuré et qui de plus, entraverait notre vie « réelle ». Internet n’est pas un lieu où l’on peut échapper aux sanctions juridiques contrairement à ce qui se dit. Par contre, le réseau pourrait vite devenir une structure totalitaire de sanction « a priori » si l’on n’y prenait garde, par auto-censure et intervention étatique. Or la sanction « a priori » est l’apanage des dictatures. L’auto-censure du peuple par le peuple est une autre forme de tyrannie où tout ce qui se dit doit être validé par tous. Si l’on n’y prêtait garde, Internet pourrait devenir la pire des prisons identitaires, chacun étant soumis à une transparence effarante et à une impossibilité de pouvoir s’exprimer socialement sans encourir les foudres d’une bien-pensance auto-immune.
Ainsi dans notre société, l’individu est partout flatté là où il n’est jamais respecté. Faisons la révélation des individus responsables de leur sort. Désengageons progressivement l’État de notre société. Il nous protège individuellement de tout, mais si « les bateaux sont en sécurité dans le port, ils ne sont pas faits pour y rester ». Aujourd’hui, les hommes de ce pays sont des bateaux qui pourrissent d’incompétence dans le port de quelque terminal pétrolier administratif. L’État est amoral par nature. Mais il l’est encore plus quand il en a les moyens. Et la rente pétrolière lui a donné les moyens de faire n’importe quoi (1). Il veut naturellement tout contrôler oubliant ainsi qu’il n’est qu’une émanation d’un peuple, de ses croyances, de sa force et de son amour de la liberté. Ne nous laissons pas déposséder de notre État et de nos vies, par quelques fonctionnaires médiocres. Le tout État a toujours échoué, ici, avant, comme partout ailleurs. Aujourd’hui cette pieuvre est un petit garçon féminisé bien trop proche de sa maman, qui veut tout et qui ne réussit rien. L’extension de l’État totalitaire est à mettre en correspondance avec le niveau d’immaturité croissant de nos dirigeants. Cet État-là est devenu notre cible commune, parce qu’il tente de dénaturer nos enfants alors qu’il est incapable d’élever les siens, qu’il détruit la famille au seul profit de l’économie, appauvrit les créateurs sans enrichir les pauvres, infantilise les citoyens immigrés ou pas, détruit toute limite morale en introduisant parallèlement et pour compenser, toujours plus de limites légales, enfermantes pour l’individu.
La dissidence doit se concevoir en tant que dissidence, et apprendre à travailler ensemble. Nous avons la chance d’avoir un intérêt commun et seul notre manque de valeurs morales (humilité, courage, abnégation…) nous empêche de réaliser cette unité. Certes, l’autre nous fait peur, et nous n’allons pas tomber dans les bras les uns des autres du jour au lendemain. Le Blanco intégré type Boutin soupèse sa rente et ses valeurs, apeuré de perdre les deux en rejoignant Monsieur le Basané qui voit d’un drôle d’oeil le sauvage Identitaire l’observer avec morgue etc… Cependant en agissant de manière progressive, et avec de la bonne volonté, entre Révélateurs de milieux différents, nous pouvons y arriver. Oui, certains traits de caractère chez l’autre vont nous excéder. Espérons que la poursuite d’objectifs communs nous fassent oublier ce genre de détails car nous ne sommes pas là pour faire vivre nos petits egos personnels mais pour faire vaincre des idées qui nous dépassent personnellement (respect de la Nation, des individus, de la famille, remise en avant de la moralité, tous ces objectifs n’étant pas contradictoires entre eux malgré le manque d’imagination et le sale boulot des diviseurs qui essaient de nous le faire croire).
En avant la Révélation !
PS : Ah si Farida Belghoul (connaissances associatives, du fonctionnement de l’État etc…) (JRE) et la section anti-gender de la Manif pour Tous (réseau large, implication) arrivaient à nous donner un premier et bel exemple de travail en commun !
1. Colonisation, collaboration, destruction de l’école et de la famille : le bilan effroyable de 100 ans de gauche progressiste en France, Aimeles du 15/01/2014.
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